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Né en 1961 à Ibadan (Nigeria) , Babatunde Ayinde Okoya, vit à Lagos depuis 1975. Il étudie jusqu'en 1981 et obtient un diplôme de technicien radio et télévision. Il travaille ensuite comme technicien, puis monteur, acteur et producteur de films vidéos (home-vidéo) de 1990 à 1994, tout en pratiquant la photographie.
Très influencé par sa rencontre avec le musicien FELA dans les années 90, il en deviendra un des photographes et ami. Aujourd’hui il côtoie et photographie les milieux artistiques et musicaux de Lagos. Babatunde est un photographe de l’Afrique urbaine, totalement imprégné de sa ville.
Son travail a été exposé en 1999 au Nigeria et au Bénin, en juillet 2001 à Aubenas (Ardéche) et aux 4émes « Rencontres de la photographie africaine » de Bamako en octobre 2001
Présenté au Centre culturel St Exupéry de Reims par La salle d'attente, en avril 2002.
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Accra - Ghana
1899 - 1989
James K. Bruce Vanderpuije est un des pionniers de la photographie en Afrique de l’ouest et au Ghana, pays que l’on considère comme le berceau de la photographie dans la région. Fils d'une famille bourgeoise d'Accra, il apprend la photographie auprès du vieux maître J.A.C Holm et ouvre son propre studio (Déo-Gratias Studio) en 1922 dans le quartier de Jamestown à Accra. Il a 23 ans et commence à réaliser des portraits de famille et des groupes de l'occupant britannique, des commerçants indiens ou de l'aristocratie noire de la ville, il photographie aussi manifestations et évènements dans la capitale.
Après l'indépendance du pays (1957), James K. Bruce Vanderpuije conçoit des campagnes de publicité pour des entreprises internationales, notamment pétrolières. À la fois portraitiste et reporter, Vanderpuije est un photographe exceptionnel. Il a laissé à son fils Isaac, qui a repris le Déo-Gratias Studio, un fonds principalement composé de négatifs 18x24 sur plaque de verre, d'une qualité artistique et documentaire de la période coloniale sans équivalent en Afrique de l’ouest.
Exposition présentée par La salle d'attente au centre culturel St Exupéry en avril 2002.
L'exposition créée par Guy Hersant qui a découvert l'œuvre de J.K.Bruce Venderpuije à Accra en 1999, a été présentée pour la première fois aux « AUBENADES DE LA PHOTOGRAPHIE » à Aubenas en juillet 2001.
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Photographe Sud Africaine
« 10 ans de photographie sténopé »
Présentée par La salle d’attente au centre culturel St Exupéry en février 2002.
Jean Brundrit est une jeune femme Africaine, blanche, née en 1966 à Cape Town en Afrique du Sud. Diplômée en Beaux arts de l’Université de cette ville en 1992, elle s’oriente vers la photographie en devenant assistante spécialisée dans le département photographique de l’université de Stellenbosch. Sa première exposition a lieu lors de la biennale de Johannesburg en 1995. Elle est présente dans la sélection officielle des rencontres de Bamako un an plus tard. Elle expose ensuite à Berlin, en Suisse, en Australie et en 2001 à l’université de Kennesaw aux USA. Jean Brundrit : « Cette exposition présente des photographies sténopé réalisées durant les dix dernières années. Ma production créatrice parcourt différents champs d’intérêt et des thèmes variés tels que l’art du portrait, les relations humaines, l’orientation sexuelle et leur rapport à l’identité. Mais, globalement, toute ces images font partie d’une exploration de ma propre identité : en tant que Sud-Africaine blanche, femme et lesbienne. J’utilise la photographie sténopé pour plusieurs raisons. Le plaisir des qualités formelles en est une et le processus de la prise de vue des photographies en est une autre. Les temps de pose sont longs (8 à 300 secondes) créant ainsi la possibilité de produire un élément de surprise au moment ou l’obturateur est ouvert. Utiliser cette technique sans viseur me permet de travailler d’une manière moins contrôlée et plus libre ».
«Cette exposition présente des photographies sténopé réalisées durant les dix dernières années. Ma production créatrice parcourt différents champs d'intérêts et des thèmes variés tels que l'art du portrait, les relations humaines, l'orientation sexuelle et leur rapport à l'identité. Mais, globalement, toutes ces ../images font partie d'une exploration de ma propre identité : en tant que Sud-Africaine blanche, femme et lesbienne.
J'utilise la photographie sténopé pour plusieurs raisons. Le plaisir des qualités formelles en est une et le processus de la prise de vue des photographies en est une autre. Les temps de pose sont longs (8 à 300 secondes) créant ainsi la possibilité de produire un élément de surprise au moment où l'obturateur est ouvert. Utiliser cette technique sans viseur me permet de travailler d'une manière moins contrôlée et plus libre. »
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