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L'association

La Salle d'Attente

a été crée en décembre 2000. Elle a pour but d’organiser, de promouvoir et de soutenir des rencontres, des actions culturelles et artistiques autour de la photographie sous forme d’expositions, de publications.

L’association vise ainsi à faire connaître dans sa région, la Champagne-Ardenne la photographie contemporaine auprès d’un vaste public.

Nous souhaitons également favoriser les rencontres entre les artistes et ce public. Dans ce but nous organisons des débats. Ces rencontres se veulent conviviales et accessibles à tous.

Afin de garder en mémoires toutes ces rencontres, nous constituons une collection au rythme d’une œuvre par exposition ; au fil des acquisitions, elle sera significative des diverses tendances de la photographie contemporaine que nous avons choisi d’explorer.

contact: alain.collard159@orange.fr

 

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Archives

23 novembre 2004 2 23 /11 /novembre /2004 16:56

Exposition de l'agence GRORE
Images du 23/11 au 17/12/2004 au théatre du Muselet
5 rue Fripiers à Chalons en Champagne


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19 novembre 2004 5 19 /11 /novembre /2004 16:53

Exposition de Ivan POLLIART du 23/11 au 17/12/2004 à l'espace culturel du centre IUFM de Reims
11 rue Gabriel Voisin

BP 337 51 688 Reims cedex

- Conférence de Ivan Poliart et Yannick COURBES le 19/11/2004 à 18h30 à la villa douce 3 Bld de la Paix à Reims


 

Mon travail plastique, par defférentes pratiques, prend pour sujet la ville et l'architecture qui la compose cherchant à accentuer la notion de décors.

Perception et présence se confondent, se juxtaposent pour s'équilibrer autour de composition binôme, image/couleur matière. L'image photographique de la matière picturale cherchent l'équilibre incertain de l'indécision. Légende colorée, légende ouverte de l'image photographique, la matière-couleur retrouve ses qualités impressionnantes et fugitives.

Ainsi le document visuel, réfèrent normatif perd de sa valeur informative pour devenir l'interrogation.

Le sujet iconique architectural glisse de la mémoire pour servir à l'élaboration de lien avec la matière présentée. Symbolique, l'image photographique permet d'activer les relations vécues, passées et présentées du spectateur avec les lieux désignés.

Ce type d'expérience provoquée se retrouve dans les installations vidéos et in situ d'imageries immobilières ou le rapport de proximité au territoire se voit décaler vers un projet possible et polémique révélateur des enjeux et des acteurs (municipalité, riverains, groupes immobiliers publics ou privés, pompiers,...). L'architecture se rétablit dans ses qualités de décor vidé de sa fonctionnalité humaine. L'architecture décors laisse place à des perspectives polysémiques et polémiques. Définir et critiquer les données de la plastique moderniste, faire l'autopsie du projet architectural, discuter de notre urbanité, tels sont les objectifs visés.

La Ville, paysage entropique, devient un espace spéculatif et inquiétant, où l'homme ne serait qu'un spectateur étranger.




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13 août 2004 5 13 /08 /août /2004 16:48

Stèles

Exposition présentée par La salle d'attente, en partenariat avec MONUM, au Château de La Motte Tlly du 10 juillet à fin août 2004.


[…]Ce que photographie C TAYLOR c’est sa Chine, celle qu’il a rêvée et lue, qui ne peut exister que sous son objectif. Christopher Taylor se souvient de l’imagerie de la Chine de son enfance, celle de ses études, dans un patchwork d’images d’Epinal sur papier peint et de Grand Timonier sur papier journal. Avant son premier voyage sur place (en 1988), la Chine de Taylor c’est Tintin contre Le Petit Livre Rouge, et il ne retrouve aucune des deux. Les images qu’il en rapporte sont le fruit d’une enquête menée en lui même, qui cherche la vérité nichée entre représentations et réalité. C’est cette intrigue chinoise qu’il nous propose de partager.[…]

Denis Guers




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13 juin 2004 7 13 /06 /juin /2004 16:44

En mai 2003, dans le cadre du projet « Ports d'Afriques », un atelier photographique doit se dérouler à Libreville (Gabon). L'artiste invité à l'encadrer est Bruno Boudjelal, photographe membre de l'agence Vu.
Durant trois semaines, vingt-cinq personnes - dix photographes, des comédiens, musiciens, peintres, étudiant, chauffeur - participent aux séances de travail. Découverte de travaux photographiques, productions, d'images, confrontation et discution avec les autres participants; apprentissage de la numérisation et présentation du travail produit sous forme de mur d'images et de slide-show.
L'angle choisi pour travailler était le rapport intime à Libreville : porter son regard sur soi, les proches, les autres dans cette ville où les participants vivent. Tenter de dire cela à travers la photographie, ce qui changeait totalement l'appropriation du médium photographique, jamais utilisé dans un but comme celui-ci.
Au final de ce stage intense, la question s'est posée de savoir comment continuer de faire exister ce qui, durant ces trois semaines, s'était révélé là. A fermé alors l'idée du collectif, qui rapidement s'est créé en juin 2003 : Gabon Igolini.
L'aventure continue. Le mur, proposé aux Rencontres de la photographie africaine de Bamako, est monté par deux photographes du collectif lors de la biennale d'octobre 2003, Le travail est également présenté sur deux sites Internet : www.afriphoto.com et www.holott.org. Et en juin 2004, paraît un libre de la collection Afriphoto en coédition avec les Editions Filigranes, de deux des photographes du collectif sous la forme d'un regard croisé.




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13 janvier 2004 2 13 /01 /janvier /2004 16:39
« Du champ des hommes »
Série de 17 photographies sur bâches plastiques Editions filigranes 2001

« Proposition m'a été faite par le service culturel de la ville de Bobigny d'une réalisation photographique ayant pour thème « la mémoire de la ville » : à partir de cartes postales du fond municipal d'archives et d'après les archives du journal municipal « Bonjour Bobigny », j'ai réalisé par strates des pièces photographiques. Les tirages numériques ont été réalisés sur bâches plastiques exposés dans trois lieux de la ville sur la voie publique ».
Catherine PONCIN

[...] que photographier d'autre ? quelle image de plus produire ? Puisque le monde est là... Pour Catherine PONCIN, il s'agit de trier en un ordre sociétal apparent pour en extraire le constat - simple mais complexe - de ce qui est. Une tâche ni évidente ni facile. A travers cette ambivalence ordre/désordre inhérente à toute communauté, l'artiste ausculte maints corpus d'archives essentiellement urbaines pour y découvrir autant d'affects psychiques latents [...] Michèle Chen Hadria, in CV Photo, janvier 2003


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